C’est une décision qui devrait réjouir les acteurs du monde immobilier qui réclament un assouplissement des règles. Dans un entretien à Alternatives Economiques, il a envisagé un ajustement limité des conditions d’octroi des crédits bancaires. Il souhaite toutefois que cela n’entraîne pas d’exposition accrue des ménages au surendettement. « Je suis prêt à proposer un ajustement limité, raisonnable, de certains critères, mais à la condition qu’on garde clairement et fermement le cap: celui d’arrêter une dérive continue des conditions d’octroi, qui exposerait les ménages au risque de surendettement », a déclaré le banquier central.
